Lorsque les organisateurs de cette journée m’ont contactée, j’avoue avoir été très perplexe quand au sujet de la communication qui m’était proposé. En effet bien que de formation pédiatrique et médecin du sport, et bien que confrontée, en tant que psychiatre consultant à l’I.N.S.E.P., à la problématique de certains judokas de haut niveau, la situation particulière de l’enfant pratiquant le judo m’était jusqu’alors inconnue. C’est ainsi que, déjà impressionnée par la communication de P. Janicot lors de la journée scientifique de l’A.R.M.S. en Octobre dernier, je me suis adressée à Pascal Bouby, ceinture (...)