Être entraîné par sa mère ou par son père crée une relation fructueuse qui peut mener à tout. A condition d’en sortir.
L’histoire se termine bien. Mary Pierce a gagné, samedi 28 janvier, son premier tournoi du grand chelem aux Internationaux d’Australie de tennis, devenant troisième joueuse mondiale. Elle a dit : « J’ai travaillé dur, traversé de mauvaises périodes ». Ils ont tous pensé à Jim Pierce, père et premier entraîneur de Mary. Il avait été interdit dans les tournois féminins pour avoir interrompu des rencontres en insultant sa fille quand elle jouait mal. Et soupçonné d’un entraînement trop (...)